Exposition du 19 mai au 19 juin 2016
Vernissage le jeudi 19 mai à 18h30
Borys Makary est un photographe né en 1977 en Pologne. Il fait de la photographie conceptuelle et créative, qui commente la réalité. Son projet démontre son intéret a la nature humaine, et surtout a la nature féminine. Il désire capter et définir la féminité. Il recherche des méthodes intéressantes et intrigantes d’imagerie, et il traite de manière innovante non seulement la photographie comme un medium, mais aussi les sujets qu’il explore. Il a obtenu un Master en Arts Visuels, et il a obtenu son diplôme du département de la Photographie à la faculté de Communication de Multimédia à l’Université des Arts à Poznan. Il a étudié la photographie de mode avec Miles Aldridge et au Centre International de la Photographie à New York. Il a été l’assistant du photographe de mode, Richard Warren. Borys Makary a exposé ses œuvres d’art à Paris (exposition FOTOFEVER au Louvre, ainsi qu’à la Galerie NUE). Ses œuvres ont également été exposées au WeArt festival à Barcelone, au Photo Independent à Los Angeles et à plusieurs expositions en Pologne.
Connection
Ces sont les photos centrales d’une femme, à l’arrière plan un paysage.
L’esthétique romantique est conservée, on peut souligner certaines références au romantisme, par exemple au tableau de Caspar David Friedrich, avec sa négation en même temps. La femme est un peu antiromantique.
Polish Misia
Il s’agit de la représentation et de la présentation d’un phénomène psychologique et sociologique, qui semble avoir été présent “depuis toujours”, mais il n’a jamais été présenté dans ce contexte. Dans ce projet, les femmes montrent leur lien profond, leur relations avec un “teddy bear”, en soulignant leur approche amoureuse vers ces jouets.
Dans son travail, il parle en utilisant un texte ouvert. Il peut être lu de deux ou même de trois manières différentes. il se place entre le document et la création. Ce travail est un commentaire sur la culture pop et l’image, assez érotisée des femmes dans le monde contemporain. Le travail montre, aussi, l’érotisation de la vie contemporaine, le désire de se découvrir soi-même, et en même temps, il est une collection de “licked bears”.
Bien sûr, le photographe est aussi le directeur influençant les personnes et les situations, grâce auxquelles il a créé certains phénomènes, qui falsifient la réalité, et qui créent à travers ces actions de facteurs qui sont valides et réels.
They were
Cette série revient à la forme de négatifs ‘Man Rey-esque’, dans lesquels signes et chiffres, qui symbolisent la personnalité du caractère à l’image, ont été peints à la main.
Le point de départ a été la numérologie, certains symboles parlent de quelque chose sur la personne donnée.
Chaque photo parle de l’histoire d’une femme différente. Le projet a été exposé à l’exposition FOTOFEVER au Louvre et à l’exposition Nue 1 à la galerie Paris NU